Chaque année nous organisons notre petit périple dans un de nos pays préféré: la Grèce. Certes en proie à une crise violente, ce pays et son peuple n'en reste pas moins créatifs, désireux de s'en sortir, et c'est ce que nous prouve une fois de plus notre grande et talentueuse amie OLGA Kouklaki!

Voix icône du titre Budapest, classique disco-punk du groupe Poni Hoax, en 2005, elle mixe à la Mezzanine de l'Alcazar ou encore au Pulp, joue les claviers pour Nouvelle Vague et Bang Bang. Marc Collin, producteur de Nouvelle Vague, qui a décelé l'étendue de son talent, joue alors les pygmalions. Avec son aide, Olga déploie enfin ses ailes musicales en composant « Getalife», son premier album. L'extrait éponyme sera remixé par Black Strobe (Arnaud Rebotini) et Volga Select sur un maxi sorti en 2007 sur le label The Perfect Kiss (Pias). L’album final sort en 2008 sur le même label.  

Proclamée « pythie d'une électro aussi incantatoire que langoureuse » par les Inrocks, sur une «Electro pop dark dans le sillage de Jennifer Cardini ou Chloé», elle séduit et impose une « voix grave et sombre» derrière laquelle la presse s'étonne de découvrir « une petite poupée (le sens de Kouklaki en grec), à la fois timide et rieuse ». 

Aujourd'hui Olga Kouklaki fait éclore son second album: «I U Need» est un écrin pour la féminité de plus en plus assumée de sa créatrice, où se révèlent ses talents et ses influences. 

«I U Need», parce qu'il en est gorgé, suscite le désir et fait d'Olga Kouklaki, la sirène électro de la Méditerranée.

 

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