Par amitié et affinités, Narumi, Léo et Maik décident de monter un groupe en 2009. Leur musique ne ressemble à rien d’existant même si les fantômes des Talking Heads (Fear of Music), de Young Marble Giant (Collossal Youth) ou des Cure (17 seconds) planent au-dessus de leurs têtes.

Leur premier maxi, ’51 ways to leave your lover’, sorti sur le label de Danton Eeprom Fondation, est la matrice du son que Tristesse Contemporaine développera par la suite : minimal, aérien, opiacé, on the edge. Confié à Pilooski (Discodeine, Dirty Edits), le mixage de leur premier album éponyme, publié par Dirty, révèle la puissance de classiques instantanés qui capturent l’époque pour l’embraser. Révélés par la scène, Tristesse Contemporaine sera en tournée durant l’année 2012, et Kulte à leurs côtés.

d*i*r*t*y